Le Principe:
A l’issue d’une période référendaire, au maximum 3 à 5 + 2 (voir Phase I) propositions de mesures politiques auront été validées. La période référendaire suivante servira à débattre sur ces propositions validées en vue du vote final en fin de cette nouvelle période référendaire et également à valider de nouvelles propositions. Le choix d’une période référendaire commune et identique pour les phases de validations et de débats permet de simplifier le processus général du RIC et se justifie par un temps significatif nécessaire à la réflexion dans les deux cas.
Ces débats, accompagnés de diverses présentations orales/écrites, seront organisés publiquement afin d’accompagner les citoyens dans leur réflexion et ainsi de les aider à acquérir un avis éclairé sur les propositions de mesures politiques validées.
Acteurs des échanges:
La participation aux débats et présentations publics sur les mesures proposées serait ouverte aux citoyens volontaires tirés au sort, aux représentants politiques, aux acteurs économiques, aux présidents d’associations & syndicats et à des experts/spécialistes (notions restant à mieux cerner) des thématiques concernées, ce dans des proportions à décider [proportions à voter ICI].
Aspect contradictoire:
Les débats publics doivent évidemment rester contradictoires afin d’assurer la plus grande neutralité possible pendant ce temps de réflexion personnelle ou collective et donc de ne pas trop biaiser le vote final des citoyens. Ainsi toutes les couleurs politiques, tous les secteurs économiques et tous les mouvements associatifs (dans la mesure du possible) seraient impliqués aux mêmes niveaux respectifs. De plus, des rapports d’experts en faveur ET en défaveur de la mesure proposée (texte, révocation,…) seraient présentés/procurés aux citoyens.
Une Chambre des médias (tirée au sort) [imaginée par Etienne Chouard] veillerait à la neutralité globale de cette phase de débats et présentations orales/écrites publics.
Moyens disponibles:
Etant donné la possibilité de plusieurs débats/présentations en parallèle sur les différentes propositions de mesures politiques, l’idéal serait de dégager des moyens suffisant pour organiser ces différents échanges sur une ou quelques chaines de télévision. Ainsi le contrôle du partage des temps de parole serait à l’image de ce qui est déjà pratiqué lors des élections présidentielles par exemple. Le second intérêt de la mise en place de tels médias audiovisuels, tendant vers une forme de neutralité grâce à l’encadrement de la Chambre des médias, serait de révéler par comparaison l’ampleur du biais d’information des médias standards (appartenant eux à des groupes privés pour la plupart).
Des moyens plus modestes permettraient au moins des conférences & débats publics dans des lieux consacrés à cette occasion (salles de Mairie, etc) et retransmis en direct sur les réseaux sociaux (Facebook live,…). L’on pourrait également suivre les pratiques suisses bien rodées, à savoir la publication/distribution de petits « booklets » pédagogiques présentant de manière synthétique les arguments pour & contre une proposition donnée amenée au plan national.
La loi actuelle prévoit que pour avoir droit à X euros par voix obtenue, il faut que le parti ait fait plus de 1% des SE dans au moins 50 circonscriptionssur 577.
Je propose que tous ces partis diposent de 500(?) mots pour expliquer leur posittions sur le site du Ministère de l’intérieur..
Et que l’on trouve une liste des collectifs d’experts pour et contre avec le lien pour se rendre sur leur site.
Il faut arrêter de prendre les Français pour des débiles..! Ceux qui sont intéressés par un sujet sauront où trouver de l’information..!
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